Enfance

 

Critique : De Malataverne de Bernard Clavel.

 

Le roman Malataverne, écrit par Bernard Clavel, ne m’a pas déçu. Publié en 1960, ce texte à la fois touchant, triste mais aussi heureux a surpris  de nombreux  lecteurs. Bernard Clavel a réussi à faire de ce roman un chef d’œuvre.

 

Le narrateur utilise le langage familier lorsqu’il fait parler les personnages, ce qui nous permet de les découvrir dès le début. Leur personnalités sont mises en avant et ceci est enrichissant.

 

C’est l’histoire d’un jeune homme qui pour rendre heureux sa bonne amie va être embarqué dans un cambriolage avec deux de ses amis. Il va mettre beaucoup de temps à se rendre compte de  l’illégalité de ses actes. Il s’en apercevra trop tard, après le décès de la propriétaire sur le lieu du cambriolage. Il va réagir de manière très étrange et tuer ses amis.

 

L’émotion que l’on ressent à la fin de ce roman est intense. La réaction tardive du jeune homme aura des conséquences importantes. C’est à la suite de celles-ci que le lecteur commence à être touché par la description du meurtre. On ne connait pas les pensées des personnages, ce qui fait régner un sentiment de suspense. Dans ce roman le premier chapitre est très révélateur pour la suite. Il marque le début de nombreuses aventures. Dans ce passage la description tout à fait précise nous met dans le contexte et dans un sentiment de suspense.

 

La vie de ces trois jeunes hommes incompris de leurs parents et livrés à eux même va basculer. Face à cette situation, nous, lecteurs ne pouvons rester insensibles.

 

 

BERTHASSON jocelin
        2J Lycée Léonard de Vinci


 

Le Sagouin : François Mauriac

 

 

Guillou

C'est l'enfance d'un pauvre petit garçon, Guillaume, appelé Guillou. Il vit avec sa mère, son père et sa grand-mère, famille noble désargentée.Dès les premières pages, on comprend très rapidement que sa mère le déteste et le méprise. Son père n'intervient jamais.Sa grand-mère ainsi que l’instituteur de l’école sont les seules personnes qui lui permettent de s'évader de ce monde cruel et des tourments infligés par sa mère.

 

On a tout de suite de la compassion pour ce petit homme car dès le début du roman on voit la cruauté de sa mère qui le gifle sévèrement sous prétexte qu’il ne sait pas ses leçons. C’est dans cette atmosphère que se déroule le roman, le pauvre enfant subit les foudres de sa mère et son instituteur finit par se désintéresser de lui.

 

On peut dire que la vie de Guillou est une sorte d’enfer car il n’a jamais connu le bonheur que tout être humain vit dans sa vie, celui de l’amour d’une mère. La fin n’est pas plus gaie car au comble du désespoir, son père l’entraîne dans son suicide.

 

Peut-être le jeune enfant a-t-il vécu cette mort comme une délivrance, peut être pas ; quoi qu’il soit arrivé, quoi qu’il ait vécu le petit garçon n’aura pas connu de grande joie et c’est prématurément que l’on aurait pu annoncer le dénouement de cette histoire, son enfance n’aurait pas pu le mener autre part que vers la mort.

Un grand plaisir à lire ce livre car  on s'attache très vite à ce jeune garçon. A lire ...

 

Florian Penelon et Fernando Seux 2nd J

Lycée Leonard de Vinci
      

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